jeudi 2 février 2012

Comment se vendre en 2 minutes ?

Lors d'un entretien d'embauche, comment se présenter en 2 mn ? Quelle est l'erreur de base à éviter ? Comment se démarquer des autres candidats? Par un coach en communication, spécialiste de l'emploi et des entretiens d'embauche. Une bonne présentation peut être la clé d'un recrutement réussi.




Source : http://www.EntretiendEmbauche.TV

mercredi 1 février 2012

Sept astuces pour un profil Facebook plus pro.

Mon Facebook est-il adapté pour ma vie professionnelle? Si ce n'est pas encore le cas, c'est le moment d'y mettre un peu d'ordre.

Oups. Dans vos mails, ce matin, une demande inattendue. Votre (futur ?) patron veut devenir votre ami sur Facebook. Va-t-il tout découvrir de vos soirées endiablées du samedi et de vos loisirs d'un genre particulier ? Et comment faire de ce réseau social un atout ? Pas de panique. En quelques réglages, vous serez prêt à montrer patte blanche sans afficher une page blanche.

1. Créer d'urgence une liste d'amis "boulot"
Vous y glisserez tous vos contacts professionnels. Vous pourrez ensuite restreindre à ce groupe l'accès à certains éléments (au hasard: vos photos de famille).

2. Définir ses réglages
C'est le noeud du problème. Cliquez sur: compte -> paramètres de confidentialité -> informations du profil. Attention, c'est cette page que vous devez apprivoiser: c'est elle qui vous permet de choisir qui peut voir quoi. Un exemple de réglages adaptés en cliquant sur ce lien.
Date de naissance, formation et emploi restent visibles par tous. Dans la même philosophie qu'un CV en ligne, ces trois informations font partie de votre identité numérique publique. Même les internautes qui ne sont pas vos amis sur Facebook les verront donc.
Dans le même ordre d'idées, vous pouvez rendre publics les champs "A propos de moi" et "Centres d'intérêt". L'idée n'est pas de raconter sa vie, mais juste de se présenter en quelques mots - avec humour, pourquoi pas.
Dans un second temps, choisissez ce que vous ne voulez rendre accessible qu'à vos amis. N'hésitez pas à choisir l'option "personnaliser" et à opter pour "amis sauf 'Boulot'". Votre famille et vos -vrais- amis y ont donc accès, mais pas les personnes que vous aurez rangées dans la liste 'boulot'.
Préférez l'option "Moi uniquement" pour les photos et les vidéos de vous. Ce réglage restreindra grandement les risques d'apparitions impromptues de photos non désirées.
Prenez également un peu de temps pour choisir quels albums photos vous voulez rendre visibles.
Enfin, faites un petit tour sur vos coordonnées. Voulez-vous que l'on puisse voir vote e-mail? Votre numéro de téléphone? C'est le moment de définir les bonnes options. Laisser a minima une adresse mail à disposition est nécessaire pour un recruteur potentiel. C'est aussi là que vous pourrez afficher votre site Web.

3. Soigner son CV
C'est le moment de vous pencher sur les champs "Formation et emploi". Que voulez-vous montrer de vous? Quels épisode de votre parcours scolaire ou professionnel souhaitez-vous mettre en valeur? Prenez un peu de temps pour choisir les bons mots et les éléments appropriés.

4. Sélectionner une bonne photo de profil
Exercice délicat. Ne pas paraître trop clown, ni trop sérieux... Peut-être un dessin? A vous de trouver l'image la plus appropriée.

5. Ne pas se cacher
Rendez-vous sur "paramètres de confidentialité" puis "recherche". Autorisez le tout, pour que l'on puisse vous dénicher par un moteur de recherche.

6. Un dernier coup d’œil ...
A quoi ressemble votre profil, vu de l'extérieur? Rendez-vous sur "Paramètres de confidentialité" puis "Informations du profil". En haut à droite, cliquez sur "Afficher un aperçu de mon profil". Alors, satisfait?

7. Attention aux pièges!

Vous ne pourrez pas cacher les pages dont vous êtes fan. C'est peut-être le moment d'abandonner votre adhésion à la page "Vous ferez moins les malins quand les canards domineront le monde" ou "Faites que ce cornichon ait plus de fans que Twilight" (quoique...).


Source : www.lexpress.fr

lundi 30 janvier 2012

Offre d'emploi : Conseillers(ères) de parfum et make up


Vous êtes motivés(es), autonomes et d'un bon relationnel, venez nous rejoindre.
Nous cherchons des personnes sérieuses et motivées pour travailler à temps plein ou partiel comme conseillers/conseillères de parfums haute gamme et d'autres produits (make up) pour la marque FMgroup.
Activité à temps pleins ou partiel, cumulable avec autre emploi/activité/étudiants/retraité. Statut vendeur à domicile indépendant. Opportunité très attractive, rémunération en fonction de vos ventes et de votre motivation (à partir de 30%) + Commission sur les ventes de votre équipe (21%).
Pour les personnes qui souhaitent arrondir leur fin de mois, n'hésitez pas de me contacter.
Je serai heureuse de vous expliquer l'offre.

jeudi 21 juillet 2011

L’art de bien démissionner

Pas question de partir en claquant la porte. L’objectif est de partir "sans casse" pour vous comme pour l'entreprise. Et de faire en sorte de rester en bons termes tout en assurant le passage de relais.

Prévenez votre entreprise le plus vite possible

Une fois votre proposition d’embauche ferme en mains, prévenez votre responsable opérationnel et votre DRH. Ils n’apprécieraient pas d’apprendre votre départ par un tiers et vous seriez en mauvaise position pour négocier votre départ. Faites-le oralement puis confirmez-le par une lettre de démission en bonne et due forme, que vous adresserez en recommandé avec accusé de réception. Bien qu'il n'y ait pas de règles imposées, votre lettre devra contenir un certain nombre d'informations afin d'éviter par la suite toute contestation : votre état-civil, une phrase indiquant clairement votre souhait de démission et la date de votre départ, compte tenu de la période de préavis, enfin une phrase indiquant quel poste vous occupiez, éventuellement depuis quelle date. Vous n’avez pas besoin de motiver votre démission dans votre courrier.

Expliquez clairement les raisons de votre départ

Une démission peut parfois être perçue comme une trahison. Pour qu’elle soit bien vécue de part et d’autre, démontrez à votre responsable à quel point cette opportunité est importante pour la suite de votre carrière et pour l’accomplissement de votre projet professionnel. Suggérez-lui de se mettre à votre place en lui posant la question suivante : « qu’aurais tu fait à ma place ? ». A l’inverse, si votre employeur vous a mis au placard ces dernières années, dites lui que vous êtes prêt à démissionner en échange d’une formation ou d’une indemnité. Autrement dit, négociez votre départ.

Ménagez vos arrières

Restez calme : ce n’est pas le moment de déverser votre bile. Une vie professionnelle est longue et vous avez de fortes chances de retrouver des collègues de votre employeur actuel. Ils pourront retravailler avec vous en tant que fournisseurs, clients, partenaires… Et qui sait, peut-être que dans quelques années, vous reviendrez chez votre employeur pour une nouvelle opportunité… Il faut garder toutes les portes ouvertes ! Rendez vous disponible pour la passation de pouvoir. Formez votre remplaçant, quitte à travailler en binôme pendant un moment.

Négociez votre préavis

La durée de votre préavis est fixée par la convention collective, les usages de votre profession ou votre contrat : elle reste toutefois négociable. A contrario, le refus d’effectuer votre préavis pourrait se solder par le versement de votre part d’une indemnité à votre employeur pour « brusque rupture ». En conservant de bonnes relations avec votre responsable, vous vous placez en position avantageuse pour partir dans les meilleures conditions. C’est du donnant-donnant. Si vous acceptez d’aider votre responsable, il doit se montrer enclin à vous laisser partir plus rapidement.

Démission ou rupture conventionnelle ?

Vous souhaitez quitter votre entreprise mais n’êtes pas certain de retrouver un poste immédiatement ? Négociez une rupture conventionnelle avec votre employeur : cet accord amiable est distinct du licenciement et de la démission. Gros avantage : il ouvre droit au versement d’une indemnité de rupture et à l’indemnisation par les Assedic. Son principe est simple : vous convenez avec votre employeur des conditions de la rupture du contrat de travail, qui donne lieu à la signature d’une convention. Celle-ci doit mentionner le montant de l’indemnité spécifique de rupture conventionnelle, qui ne peut être inférieur à celui de l’indemnité légale de licenciement. Ces deux indemnités doivent être supérieures à 1/5e de mois de salaire par année d’ancienneté, montant auquel s’ajoutent 2/15e de mois par année après 10 ans d’ancienneté.

Bon à savoir

Si vous êtes enceinte, vous êtes dispensée d’effectuer le préavis, de même au terme de votre congé maternité, à condition d’informer votre employeur de votre démission par lettre recommandée avec accusé réception au moins 15 jours avant la date prévue pour votre retour dans l’entreprise.
Et bien sûr aucun préavis n'est prévu en cas de démission en période d’essai.
Il est impossible par contre de démissionner d'un contrat à durée déterminée (CDD). Seuls l'accord amiable, la faute grave, la force majeure ou encore l'embauche sous contrat à durée indéterminée de l'intéressé, sont admis pour rompre un tel contrat.

Source : www.monster.fr

mardi 19 juillet 2011

Période d’essai : mode d’emploi

Vous êtes… dans la dernière étape du recrutement

La première chose à retenir lorsque vous commencez votre période d’essai dans une nouvelle entreprise, c’est que vous êtes encore en phase de recrutement. Et oui, à ce stade, rien n’est encore joué, vous devez encore faire vos preuves et montrer que vous êtes compétent pour le poste en question.


Vous êtes… à l’essai

La période d’essai est le moment où recruteur et « recruté » vont se jauger, s’évaluer. Pour le recruteur, il s’agit de savoir si son poulain sera capable de s’intégrer et de remplir sa mission. Le « recruté », quant à lui, aura l’occasion de tirer le meilleur parti de cette période en découvrant son nouveau travail, sa nouvelle entreprise et ses collègues.

Autre avantage non négligeable de la période d’essai : à tout moment, chacune des deux parties pourra se rétracter. Une sorte de période probatoire en somme.


Adaptez-vous au mieux et au plus vite

Pour bien démarrer dans votre nouvelle vie professionnelle, il est très important que vous sachiez où vous mettez les pieds. Il est donc judicieux de se renseigner sur le mode de fonctionnement de votre nouvelle entreprise et sur les véritables attentes liées à votre poste. Pour convaincre votre employeur, il vous faut en effet savoir ce qu’il attend de vous et quels sont les besoins de l’entreprise ! Vous renseigner vous permettra donc de vous adapter mieux et plus vite.


Présentez-vous !

Même si vous pensez être parfaitement compétent sur le plan technique, ne négligez pas le facteur humain lors de votre période d’essai : pensez à vous présenter à vos collègues, c’est primordial ! Généralement, votre supérieur hiérarchique se chargera de vous faire faire le tour des locaux et de vos nouveaux collègues, mais si ce n’est pas le cas, prenez les choses en main. A vos débuts, vos collègues pourront en effet vous être d’une aide précieuse : n’oubliez pas que vous ne connaissez pas encore les us et coutumes de votre nouvelle entreprise, mieux vaut donc en faire des alliés dès le départ !


Soyez “The right man at the right place”

Dernier conseil : rendez-vous indispensable tout en restant humble. Difficile mais pas impossible. Il suffit simplement de vous montrer motivé, d’aller toujours de l’avant et d’essayer de trouver une solution à chaque nouveau problème qui se pose. N’hésitez pas non plus à mettre en avant vos compétences particulières (maîtrise de telle ou telle langue étrangère, de tel logiciel, etc.). Vous prouverez ainsi à votre employeur que vous êtes la bonne personne pour le bon poste !


Source : www.monster.fr

lundi 18 juillet 2011

La période d’essai selon la loi

Je suis en période d’essai dans une entreprise, et j’ai reçu l’offre d’une autre qui est sa cliente. Ai-je le droit d’accepter cette offre, sachant que mon contrat actuel prévoit une clause qui m’interdit de m’associer ou de travailler avec un concurrent ou un client de mon employeur ?

La période d’essai permet à l’employeur de jauger les aptitudes professionnelles du salarié et à ce dernier de s’assurer que la fonction le satisfait. Elle peut être renouvelée une seule fois mais le renouvellement n’est pas automatique. Durant cette période, les deux parties peuvent rompre le contrat de travail sans aucune indemnité. Toutefois, après au moins une semaine de travail, la rupture à l’initiative de l’employeur non motivée par la faute grave ne peut avoir lieu qu’avec des délais de préavis suivants :
- 2 jours avant la rupture s’il est payé à la journée, à la semaine ou à la quinzaine ;
- 8 jours avant la rupture s’il est payé au mois.
Si après l’expiration de la période d’essai, le salarié venait à être licencié sans qu’il ait commis de faute grave, celui-ci doit bénéficier d’un délai de préavis qui ne peut être inférieur à huit jours.
La période d’essai pour les contrats à durée indéterminée est fixée à :
- 3 mois pour les cadres et assimilés ;
- un mois et demi pour les employés ;
- quinze jours pour les ouvriers.
Pour les contrats à durée déterminée elle ne peut dépasser :
- une journée au titre de chaque semaine de travail dans la limite de 2 semaines lorsqu’il s’agit de contrats d’une durée inférieure à 6 mois ;
- 1 mois, lorsqu’il s’agit de contrats d’une durée supérieure à 6 mois.
Des périodes d’essai inférieures à celles mentionnées ci-dessus peuvent être prévues par le contrat de travail, la convention collective ou le règlement intérieur.
Si vous n’avez pas encore signé et légalisé le contrat, votre employeur ne peut vous faire de grief, si vous êtes recruté par son client, pour deux raisons. Tout d’abord l’absence d’un contrat qui spécifie cette interdiction. Ensuite vous êtes encore en période d’essai, vous pourriez partir quand vous voudrez, et chez qui vous voulez, car votre engagement n’est pas encore définitif. Cette précarité dans laquelle vous vous trouvez doit être rapidement compensée par votre liberté de vous engager avec une autre entreprise, bien entendu sous réserve de respecter les dispositions du code du travail.

Est-ce que le nouvel employeur a le droit de me demander une attestation de cessation de travail, ou copie de la lettre de démission ?

Pour l’attestation de cessation de travail, qui est un droit absolu du salarié qui a rompu son contrat de travail, le second employeur est en droit de la réclamer, tout simplement, parce que sa responsabilité peut être engagée s’il est prouvé qu’il est impliqué dans votre débauchage.
Dans ce sens, l’article 42 dispose : «Lorsqu’un salarié, ayant rompu abusivement son contrat de travail, engage à nouveau ses services, le nouvel employeur est solidairement responsable du dommage causé à l’employeur précédent dans les cas suivants :
- quand il est établi qu’il est intervenu dans le débauchage ;
- quand il a embauché un salarié qu’il savait déjà lié par un contrat de travail ;
- quand il a continué à occuper un salarié après avoir appris que ce salarié était encore lié à un autre employeur par un contrat de travail (...)».

Source : www.lavieeco.com

vendredi 15 juillet 2011

Comment savoir si on a réussi son entretien d'embauche ?

Pas facile de s’auto-évaluer à l’issue d’un entretien d’embauche. Réactions du recruteur, temps de parole, moment de la séparation… Découvrez les 5 critères qui vous aideront à revoir le film de la rencontre et à faire un debrief objectif.

1. Avez-vous dit tout ce que vous vouliez dire ?

Avant de passer un entretien, vous devez avoir préparé un argumentaire. « Idéalement, le candidat doit faire passer un message en mettant en avant quatre ou cinq points clés », souligne Marc Guichet.

Selon le directeur du cabinet Émergences RH, les premières questions à se poser à l’issue de l’entretien sont donc : est-ce que je me suis tenu à mon plan d’intervention et ai-je réussi à avancer mes arguments ? « Si vous êtes frustré, ce n’est pas bon signe, sans que cela soit pour autant rédhibitoire », tempère le recruteur.

Jean-Samuel Delacour estime pour sa part qu’il faut aussi évaluer la pertinence de son propos. Le consultant de Servir, cabinet de recrutement du groupe Minerve, considère que « le candidat doit se demander s’il a réussi à cadrer avec les attentes de son interlocuteur. Autrement dit, est-il parvenu à argumenter sa carrière en fonction du poste à pourvoir ? »


2. La durée de l’entretien ?

À moins de ne passer que 10 petites minutes en compagnie du recruteur, la durée d’un entretien n’est pas un facteur clé de succès. « Ce n’est qu’un indice, affirme Thierry Verdier, directeur du cabinet 1001 Talents. Bien entendu, il vaut mieux que ça dure trop longtemps plutôt que pas assez. Mais tout dépend du contenu », précise-t-il, ajoutant que trente minutes d’échanges constructifs sont plus fécondes que deux heures de palabres sans intérêt.

Pour Jean-Samuel Delacour, le temps est également une donnée à manier avec précaution. « Ce qui compte, c’est de déterminer si le temps de parole était partagé », souligne le recruteur. Si le responsable RH a trop parlé, « il attendait peut-être qu’on l’interrompe et qu’on lui pose des questions ». A contrario, un candidat trop loquace peut « donner l’impression de manquer de concision ».


3. Comment s’est comporté mon interlocuteur ?

Durant l’entretien, il faut être attentif aux réactions de son interlocuteur. « Il n’y a certes pas de vérité absolue mais il y a des signes qui ne trompent pas », explique Thierry Verdier. Des yeux levés au ciel, un désintérêt manifeste, des objections successives, une pointe d’agacement dans la voix sont des attitudes équivoques. Mais que penser d’un recruteur qui consulte régulièrement sa montre ? « On peut supposer qu’il est impatient ou qu’il a peut-être un timing très serré », note Marc Guichet.

Idem pour les questions qu’il peut poser. « S’il n’en pose aucune, c’est inquiétant, car cela veut dire qu’il n’a pas cherché à creuser », avertit Thierry Verdier. À l’inverse, s’il creuse avec excès, « ce n’est pas non plus bon signe. Cela peut signifier qu’il a des doutes ». À moins que ce ne soit une tactique pour tester le candidat et voir comment il s’adapte. « Tout est une question de feeling », résume Jean-Samuel Delacour qui rappelle qu’il y a « une part d’indicible dans le recrutement. »


4. Le recruteur vous a-t-il vendu l’entreprise ?

L’entretien d’embauche est un jeu de séduction à double sens. « Il faut tenir compte des informations qu’a livrées le recruteur, indique Marc Guichet. S’il est intéressé par votre parcours ou votre discours, il va essayer de vendre l’entreprise en vous parlant de sa culture, de son management ». Il peut aussi aborder plus en détail le contenu du poste, les missions à accomplir voire même le déroulement du processus d’intégration et les perspectives d’évolution.


5. Comment s’est conclu l’entretien ?

Même si vous avez tapé dans l’œil de votre interlocuteur, ne vous attendez pas à une réponse immédiate. « On prend toujours le temps de réfléchir », assure Jean-Samuel Delacour.

En revanche, la conclusion d’un entretien est révélatrice. « Si le recruteur demande des pièces supplémentaires, comme des références ou des copies de vos diplômes, c’est qu’il veut aller plus loin et investir sur le futur », signale Thierry Verdier.

Dans le même ordre d’idées, une date précise pour une reprise de contact ou un prochain rendez-vous constitue un signe positif. « C’est la preuve qu’on poursuit le processus », présume Marc Guichet, qui conseille aux candidats de ne pas hésiter à solliciter le recruteur en lui demandant quelle sera la suite des événements.

Enfin, si ce dernier prend le temps de vous raccompagner jusqu’à l’ascenseur, « c’est qu’il a du mal à vous laisser partir et qu’il a sans doute hâte de vous revoir », confie le dirigeant d’Émergences RH.



Source : www.keljob.com
Geoffrey Dirat © Keljob – Juillet 2011